jeudi 28 février 2013

Tokyo veut améliorer le rôle de la radiodiffusion en cas de désastres naturels...

Au Japon, une commission gouvernementale chargée d'améliorer le rôle de la radio en cas de désastres naturels, a tenu sa première réunion.Des représentants de la NHK, de diffuseurs privés, de gouvernements locaux et d'experts en diffusion ont participé à cette rencontre au ministère de la Gestion publique mercredi. Les diffuseurs ont parlé de leur expérience lors du grave séisme qui a touché le nord-est du Japon en mars 2011. Selon eux, la radiodiffusion a joué un rôle important pour fournir de l'information. Ils soulignent toutefois que les transmetteurs AM se trouvent dans des zones à faible altitude et sont vulnérables aux tsunamis et aux inondations. Les membres du comité discuteront de mesures pour protéger les transmetteurs radio en cas de désastres. Ils veulent aussi améliorer la qualité des signaux radio pour que les citoyens puissent bien les capter, quel que soit l'endroit où ils habitent.
(Radio Japon international, le 28-02-2013)

vendredi 22 février 2013

Le plus grand centre écoute américain se trouverait dans l'Utah...

Les agences de presse font état du déploiement du plus grand centre d'espionnage électronique et d'écoutes aux États-Unis. L'Agence de sécurité nationale américaine a construit un centre secret destiné à l'écoute des communications électroniques, qui est le plus grand dans son genre, dans l'Utah, dans le sud-ouest des États-Unis. Le centre est entré en fonction depuis le 6 janvier 2011. Le déploiement de ce centre a coûté deux milliards de dollars. Ce centre est destiné à détecter et à enregistrer les communications électroniques.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 22-02-2013)

jeudi 21 février 2013

Au Zimbabwe, distribution de postes radios spéciaux utilisés à des fins de propagande...

La police du Zimbabwe est à la recherche de postes radios distribués à la population. Postes qui, selon elle, sont spécialement conçus et sont illégaux. La porte-parole des forces de l'ordre a accusé des groupes anonymes de distribuer des appareils afin de diffuser des messages de haine et influencer les élections à venir. La police a saisi des centaines de transistors chez un juriste proche du Premier ministre Morgan Tsvangirai.
(La voix de l'Amérique, le 21-02-2013)

jeudi 14 février 2013

La France serait en mesure de contrôler les communications téléphoniques dans différents pays d'Afrique dont le Mali...

On apprend que le président français, François Hollande, a demandé au groupe Vivendi, une multinationale française spécialisée dans la communication et le divertissement, de surseoir à la mise en vente des 53% de parts qu'il détient dans le capital de Maroc Telecom au profit de l'opérateur qatari Qtel. Le motif de cette demande s'inscrit dans le répertoire sécuritaire de la guerre au Mali. Les stratèges de l'armée française poussent leur gouvernement à faire en sorte que Vivendi demeure copropriétaire de l'opérateur marocain, lui-même propriétaire de plusieurs opérateurs au Mali, en Mauritanie ou encore au Burkina Faso. À travers Vivendi la France souhaite donc garder le contrôle des réseaux de télécommunications dans toute cette région durant toute l'intervention militaire. Les militaires français veulent intercepter la totalité des conversations téléphoniques ou électroniques des djihadistes d'AQMI ou du MUJAO, qu'elles soient émises par des portables ou qu'elles soient filaires. Le renseignement électronique, très utile dans la localisation et la neutralisation des cibles identifiées, s'invite donc dans cette guerre du Sahel. Selon des sources militaires fiables, les forces aériennes françaises se sont bien gardées de bombarder les antennes BTS téléphoniques et le reste des infrastructures de télécommunications installées dans les villes contrôlées par les islamistes. Les forces spéciales pourront alors compter sur l'aide de l'opérateur pour contrôler les communications entre les centres de commandement et les djihadistes, au lieu de les couper. D'où cette lourde insistance du palais de l’Élysée à tout faire pour empêcher les Qataris de prendre le contrôle des infrastructures télécoms maliennes. (La voix de la République islamique d'Iran, le 14-02-2013)